Texte informatif affiché dans le panneau sur le site du monument. En 1935, le petit village de Capoulet-Junac n’a toujours pas de monument aux morts. Pourtant il ...
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À propos...
Texte informatif affiché dans le panneau sur le site du monument.
En 1935, le petit village de Capoulet-Junac n’a toujours pas de monument aux morts. Pourtant il a payé lui aussi un lourd impot du sang à la Grande Guerre.
Le Docteur Paul VOIVENEL est Maire. Médecin d’ambulance de la 1ère ligne, il ne peut rester indifférent à cet état de fait. Comme tout ce qu’il entreprend, ce monument doit être exceptionnel.
L’idée germe et prend forme.
Ami d’Antoine BOURDELLE, il se rend auprès de sa veuve pour lui exposer l’idée. MME BOURDELLE , le conduit dans l’atelier du sculpteur où elle le laisse faire son choix.
C’est le choc…..
« C’est ça la guerre ! L’épouvante héroïque, la souffrance et la mort »
Le choix est fait et l’œuvre est offerte par l’épouse de l’artiste.
Les finances communales sont à l’échelle du village, aussi, « cela ne doit rien coûter »
RUDIER, le fondeur de BOURDELLE, accepte de ne compter que le métal. Reste le piédestal, Jean CABE l’image et le fait réaliser pour le seul prix de la pierre.
Comme le monument, l’inauguration se doit d’être exceptionnelle. Le Maréchal PETAIN, artisan de la victoire de 1918, « accepte de venir» . Le 17 novembre 1935, le monument est dévoilé. Dans son discours, le Maréchal PETAIN honorera « le paysan de France » et « le village inconnu »
5 cartes postales jaunies illustrent ce texte
Texte informatif sur Wikipedia
Ce groupe de têtes sculpté a été exposé en 1899 sous le titre « La guerre, les figures hurlantes ». il a été créé dans le cadre du projet de monument de la guerre de 1870 de Montauban réalisé de 1894 à 1902. Ce groupe n’a pas été utilisé pour le monument de Montauban et a été offert par la veuve d’Antoine Bourdelle au maire de Capoulet et Junac.
En 1935, le petit village de Capoulet-Junac n’a toujours pas de monument aux morts. Pourtant il a payé lui aussi un lourd impot du sang à la Grande Guerre.
Le Docteur Paul VOIVENEL est Maire. Médecin d’ambulance de la 1ère ligne, il ne peut rester indifférent à cet état de fait. Comme tout ce qu’il entreprend, ce monument doit être exceptionnel.
L’idée germe et prend forme.
Ami d’Antoine BOURDELLE, il se rend auprès de sa veuve pour lui exposer l’idée. MME BOURDELLE , le conduit dans l’atelier du sculpteur où elle le laisse faire son choix.
C’est le choc…..
« C’est ça la guerre ! L’épouvante héroïque, la souffrance et la mort »
Le choix est fait et l’œuvre est offerte par l’épouse de l’artiste.
Les finances communales sont à l’échelle du village, aussi, « cela ne doit rien coûter »
RUDIER, le fondeur de BOURDELLE, accepte de ne compter que le métal. Reste le piédestal, Jean CABE l’image et le fait réaliser pour le seul prix de la pierre.
Comme le monument, l’inauguration se doit d’être exceptionnelle. Le Maréchal PETAIN, artisan de la victoire de 1918, « accepte de venir» . Le 17 novembre 1935, le monument est dévoilé. Dans son discours, le Maréchal PETAIN honorera « le paysan de France » et « le village inconnu »
5 cartes postales jaunies illustrent ce texte
Texte informatif sur Wikipedia
Ce groupe de têtes sculpté a été exposé en 1899 sous le titre « La guerre, les figures hurlantes ». il a été créé dans le cadre du projet de monument de la guerre de 1870 de Montauban réalisé de 1894 à 1902. Ce groupe n’a pas été utilisé pour le monument de Montauban et a été offert par la veuve d’Antoine Bourdelle au maire de Capoulet et Junac.