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Délibérations Conseil municipal 07/05/1922
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C’est lors des délibérations du conseil municipal du 7 mai 1922, conseil présidé par le maire, Monsieur Jules Lhuissier, que fut prise la décision d’ériger ce monument à la mémoire des Hercéens morts durant la Grande Guerre.
Le montant du projet s’élevait à 9.500 Francs se répartissant ainsi :
Soubassement du monument : 203.38
Décoration du jardin entourant le monument : 316.00
Pale et couronne en bronze : 412.00
Statue en fonte de fer bronzée : 4.000.00
Socle en granit blanc : 4.000.00
Main d’œuvre et divers : 568.72
La souscription municipale rapporta 4.500 Francs, les budgets additionnels de 1921 et de 1922 contribuèrent pour 3.000 et 300 Francs, enfin la subvention de l’Etat de 800 Francs permirent de couvrir la totalité de la dépense.
La croix latine, quoique discrète, fit l’objet de nombreuses correspondances entre la préfecture, la sous-préfecture et la municipalité. Bien sur celles-ci concernaient l’application de la loi sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat (Absence d’emblèmes religieux sur un monument se trouvant sur la voie publique).
Finalement le monument étant implanté sur une partie de l’ancien cimetière et bien que face à une voie publique, la croix fut tolérée.
C’est lors des délibérations du conseil municipal du 7 mai 1922, conseil présidé par le maire, Monsieur Jules Lhuissier, que fut prise la décision d’ériger ce monument à la mémoire des Hercéens morts durant la Grande Guerre.
Le montant du projet s’élevait à 9.500 Francs se répartissant ainsi :
Soubassement du monument : 203.38
Décoration du jardin entourant le monument : 316.00
Pale et couronne en bronze : 412.00
Statue en fonte de fer bronzée : 4.000.00
Socle en granit blanc : 4.000.00
Main d’œuvre et divers : 568.72
La souscription municipale rapporta 4.500 Francs, les budgets additionnels de 1921 et de 1922 contribuèrent pour 3.000 et 300 Francs, enfin la subvention de l’Etat de 800 Francs permirent de couvrir la totalité de la dépense.
La croix latine, quoique discrète, fit l’objet de nombreuses correspondances entre la préfecture, la sous-préfecture et la municipalité. Bien sur celles-ci concernaient l’application de la loi sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat (Absence d’emblèmes religieux sur un monument se trouvant sur la voie publique).
Finalement le monument étant implanté sur une partie de l’ancien cimetière et bien que face à une voie publique, la croix fut tolérée.