France (Lozère) Fau-de-Peyre (48130)

Conflits commémorés
  • 1914-18
  • 1939-45
  • Monument communal
informations déposées par Yziquel Jacques et mises à jour par Choubard Alain, Martine Aubry dernière mise à jour le 12/08/2023

Description du monument

Caractéristiques

  • Structure
    • Pilier commémoratif
      • Piédestal
  • Statuaires de série
    • Statuaires de série - Soldats
      • Poilu - Soldat Vainqueur (Léon Leyritz)
  • Ornementation végétale
    • Palme(s)
      • Palmes entrecroisées
  • Ornementation religieuse
    • Croix
      • Croix latine

Matériaux

granite
fonte de fer bronzée

Inscriptions présentes sur le monument

LE FAU DE PEYRE
À SES ENFANTS
MORTS
POUR LA FRANCE
-
1914-1918

Les morts

Abbé BRECHET Isidore
Abbé ROUZEYRE Jules
ALBARET Abel
ALLANCHE Jean
BALDRAN Pierre
BOYER Isidore
BRECHET Émile
BROS Pierre
BRUGERON Auguste
CETTE Henri
CETTE Jean
CHARDAIRE Firmin
CHARDAIRE Xavier
FORESTIER Joseph
GINZAC Joseph
GOTINT Henri
MAUREL Auguste
-----
GRAS Frédéric
GRAS Louis
MAZEL Frédéric
MOULIN Auguste
MOULIN Jean Baptiste
MOURGUES Ambroise
MOURGUES Jean
MOURGUES Augustin
MOURGUES Jean
POULALION Léopold
ROUEL Frédéric
ROUEL Théophile
JARDIEU Urbain
TURRIERE Auguste
TARDIEU Frédéric
TEISSEDRE Frédéric
VELAY Jean
VELAY Martin
TARDIEU Marius

Historique du monument

  • 1932
  • Travaux 1932
    Source : AD48 2 O 610
    Année de réalisation de la sculpture: 1932
  • 2018
  • Presse 06/11/2018
    Source : https://faudepeyre.fr/souvenons-nous/

    Posté le 6 novembre 2018, par Daniel du 4.8 Comme la plupart des communes de France, le Fau de Peyre a son monument aux Morts et son poilu. ...

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    Presse 06/11/2018
    Posté le 6 novembre 2018, par
    Comme la plupart des communes de France, le Fau de Peyre a son monument aux Morts et son poilu.
    Celui-ci est pratiquement adossé au mur du cimetière communal. Nous ne disposons pas d’archives facilement consultables pour donner une date fiable quant à son implantation. Toutefois, les plus anciens se souviennent qu’en cet endroit s’élevait encore au début du siècle dernier un énorme fayard (un faou en patois). Celui-ci fut déraciné lors d’une tempête. La souche fut extraite avec grande difficulté et provoqua même un accident mortel.
    Quelques années plus tard, le forgeron du village demanda qu’un emplacement lui soit accordé afin d’y implanter un métier à ferrer. Le conseil municipal décida de lui louer celui laissé libre suite à la chute du fayard et le métier à ferrer fut installé. C’est alors que l’État invita les communes à ériger un monument à la mémoire des soldats morts aux Champs d’Honneur. Le conseil municipal considéra que le meilleur emplacement était celui où se trouvait le métier à ferrer. Clément, le forgeron, fut prié de démonter son « ferradou » et de le réimplanter derrière la ferme Rambier, ce qu’il fit.